THE PSEUDOPOTENTIAL THEORY AND THE IMPURITY STATES IN NOBLE AND TRANSITION METALS

Résumé
Nous montrons que la théorie du pseudo-potentiel permet de justifier et de calculer à partir des premiers principes l'utilisation de bandes « d » traités en liaisons fortes et hybridées avec des bandes s-p traitées en ondes planes orthogonalisées. Nous appliquons ce modèle au calcul des états d'impureté dans les métaux nobles et de transition (variation de densité d'états, anisotropie des temps de relaxation...). Nous discutons brièvement les résultats obtenus pour les alliages CuNi et Ni-Cr ; nous montrons en particulier que la largeur des états liés virtuels provient principalement de l'hybridization s-d de la matrice.

Abstract
We show that the pseudopotential theory applied to transition metals allows the justification and the calculation from the first principles of tight binding « d » bands hybridized with s-p O. P. W. We apply this model to the computation of the impurity states in noble and transition metals (density of states, anisotropy of relaxation time...). We discuss briefly the results obtained for NiCr and CuNi alloys ; we show that the virtual bound state width arises mainly from the host s-d hybridization.