Numéro
J. Phys. Colloques
Volume 36, Numéro C3, Septembre 1975
EXPOSÉS et COMMUNICATIONS présentés à la Seconde Conférence Internationale sur les Composés Semiconducteurs Ternaires / Second International Conference on Ternary Semiconducting Compounds
Page(s) C3-177 - C3-181
DOI https://doi.org/10.1051/jphyscol:1975332
EXPOSÉS et COMMUNICATIONS présentés à la Seconde Conférence Internationale sur les Composés Semiconducteurs Ternaires / Second International Conference on Ternary Semiconducting Compounds

J. Phys. Colloques 36 (1975) C3-177-C3-181

DOI: 10.1051/jphyscol:1975332

OPTICAL PHONONS IN I-III-VI2 COMPOUNDS

W. H. KOSCHEL, F. SORGER and J. BAARS

Institut für Angewandte Festkörperphysik der Fraunhofer-Gesellschaft 7800 Freiburg, Eckerstrasse 4, Germany


Résumé
Les phonons optiques (k = 0) de CuInS2, AgInS2 et CuFeS2 ont été analysés par des mesures d'absorption et de réflexion dans la région de 1 000 jusqu'à 50 cm-1. La détermination des fréquences des phonons optiques transversaux et longitudinaux a été effectuée à l'aide d'équations Kramers-Kronig ainsi que de modèles classiques d'oscillateurs. Les résultats sont comparés aux spectres connus de CuAlS2, CuGaS2 et AgGaS2. Une comparaison systématique des fréquences des modes montre que les constantes de force des différents composés I-III-S2 sont presque égales. Les différences des fréquences des modes correspondants paraissent dépendre principalement des différentes masses des cations.


Abstract
The optical phonons at k = 0 of CuInS2, AgInS2 and CuFeS2 were analysed by infrared reflection and absorption measurements in the region from 1 000 to 50 cm-1. To determine the transverse and longitudinal optical phonon frequencies Kramers-Kronig integrations as well as classical oscillator models were used. The results are compared with the known phonon spectra of CuAlS2, CuGaS2 and AgGaS2. It is shown by a systematic comparison of the mode frequencies that the force constants of the different I-III-S2 compounds are almost equal. The frequency difference between corresponding modes appear to be mainly due to the different cation masses.