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J. Phys. Colloques
Volume 31, Numéro C4, Novembre-Décembre 1970
COLLOQUE SUR LA THÉORIE DE LA STRUCTURE ATOMIQUE
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Page(s) | C4-213 - C4-219 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/jphyscol:1970434 |
J. Phys. Colloques 31 (1970) C4-213-C4-219
DOI: 10.1051/jphyscol:1970434
ON THE RELATIVISTIC ATOMIC HAMILTONIAN
H. T. WADZINSKILaboratoire Aime Cotton, C. N. R. S.-II, 91-Orsay, France
Résumé
L'hamiltonien relativiste d'un atome à plusieurs
électrons est étudié de façon à expliciter les hypothèses de base et les
approximations. A l'intérieur de la structure générale fournie par ces
hypothèses, certaines approximations peuvent être partiellement levées par
l'introduction de nouvelles corrections. Les hypothèses de base sont les
suivantes : validité de l'électrodynainique quantique et possibilité d'utiliser
des potentiels effectifs pour réduire l'électrodynamique quantique à une forme
hamiltonienne. Les ambiguïtés du potentiel obtenu au premier ordre sont
discutées. Une autre cause de difficulté réside dans une définition précise des
variables de position qui doivent être utilisées dans l'étude des interactions
internes et externes. A partir de ces résultats, on peut construire un
hamiltonien pour des noyaux possédant un spin bien défini. Cependant on préfère
traiter le mouvement du noyau de façon non relativiste, ce qui permet de donner
une description phénoménologique des moments nucléaires valable pour n'importe
quel spin.
Abstract
The relativistic hamiltonian for a multi-electron atom is
studied to make explicit the assumptions and approximations which enter into
it. This will allow corrections to the approximations to be made as needed
within the framework provided by the assumptions. The basic assumptions are the
validity of quantum electrodynamics and the accuracy of using effective
potentials to reduce quantum electrodynamics to hamiltonian form. The
ambiguities of the potential obtained for the first order interaction are
discussed. Another source of difficulty is in the precise definition of the
position variables to be used for internal interactions and for interactions
with external fields. Using these results a hamiltonian could be constructed
for nuclei with a particular spin. Instead the nuclear motion is approximated
non-relativistically allowing a phenomenological description of the nuclear
moments which is valid for all spins