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J. Phys. Colloques
Volume 48, Number C9, Décembre 1987
X-Ray and Inner-Shell ProcessesVol. 1 |
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Page(s) | C9-851 - C9-854 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/jphyscol:19879152 |
Vol. 1
J. Phys. Colloques 48 (1987) C9-851-C9-854
DOI: 10.1051/jphyscol:19879152
ELECTRON CORRELATION IN METALS EVIDENCED BY COMPTON SCATTERING
A. ISSOLAH1, J . CHOMILIER1, Y. GARREAU1 and G. LOUPIAS21 Laboratoire de Minéralogie-Cristallographie, UPM et Université Paris VII, CNRS, T 16, 4, Place Jussieu, F-75252 Paris Cedex 05, France
2 LURE, CNRS-CEA-MEN, Bât. 209D, Université Paris-Sud, F-91405 Orsay Cedex, France
Résumé
La différence entre profils Compton théorique - pseudopotentiel- et expérimental permet d'évaluer l'importance de la corrélation électronique dans les métaux. Pour le béryllium elle est quasi indépendante de la direction étudiée, alors que pour un composé lamellaire comme le graphite, elle est anisotrope. Dans le premier cas, un traitement de corrélations électroniques pour un gaz d'électrons supposé homogène, réduit de moitié la différence. Cette méthode ne peut s'appliquer au graphite pour améliorer le calcul mono électronique et il est nécessaire d'utiliser des fonctions d'onde multiélectroniques.
Abstract
The difference between theoretical -pseudopotential- and experimental Compton profiles allows to estimate the electron correlations in metals. For beryllium it is almost directionally independent, while for a lamellar compound such as graphite, also of hexagonal symmetry, the difference is anisotropic. In the first case the correlation effects evaluated for a homogenous electron gas, reduced the difference almost by a factor 2. This method cannot be used to improve the one-electron calculation in graphite and more advanced theories using multi electron wave functions are required.