EXPOSÉS et COMMUNICATIONS présentés au COLLOQUE
Surface des Noyaux / Nuclear Surface

J. Phys. Colloques 36 (1975) C5-123-C5-125
DOI: 10.1051/jphyscol:1975531

ÉTUDE DES RÉACTIONS (p, pd), (p, pt) ET (p, p ³He) SUR ¹²C ET ¹⁶O A 75 MeV

J.Y. GROSSIORD¹, M. BEDJIDIAN¹, A. GUICHARD², M. GUSAKOW¹, J.R. PIZZI², T. DELBAR³, G. GRÉGOIRE³ and J. LEGA<sup>3

1</sup>  Institut de Physique Nucléaire, Université Claude-Bernard, Lyon-1 et IN2 P3, 43, bd du 1l-Novembre-1918, 69621 Villeurbanne, France
²  Institut de Physique Nucléaire, Université Claude-Bernard, Lyon-1 et IN2 P3, 43, bd du 11-Novembre-1918, 69621 Villeurbanne, France
³  Institut de Physique Corpusculaire, Université de Louvain, Louvain-la-Neuve, Belgique

Résumé
Les réactions de diffusion quasi élastique (p, pd), (p, pt) et (p, p, ³He) ont été effectuées sur ¹²C et ¹⁶O à 75 MeV. Les bas niveaux d'excitation des noyaux résiduels ont été observés. La présence de niveaux T = 1 de ¹⁰B et ¹⁴N et de niveaux de parité positive de ¹³N et ¹³C ne s'explique que si l'on admet la possibilité de mécanismes de réaction plus complexes que le simple mécanisme de diffusion quasi élastique. Une comparaison relative des facteurs spectroscopiques avec des calculs théoriques a été faite pour les états les plus peuplés.

Abstract
The (p, pd), (p, pt) and (p, p ³He) quasi-free scattering reactions have been studied on ¹²C and ¹⁶O targets at 75 MeV. The low lying excitation levels of the residual nuclei have been observed. The appearance of T = 1 states in ¹⁰B and ¹⁴N and of positive parity states in ¹³N and ¹³C can only be explained by reaction mechanisms more complex than a simple quasi-free scattering. A comparison of relative values of experimental spectroscopic factors with theoretical calculations has been made in the case of the most populated states.